Mesdames et messieurs, préparez-vous à l’expérience cinématographique la plus raffinée de l’année !
« Deadpool & Wolverine » vient de redéfinir les standards du septième art avec une élégance et une finesse jamais vues auparavant….
Dès les premières minutes, on est subjugué par la délicatesse du scénario. Les blagues pipi-caca s’enchaînent avec une grâce toute shakespearienne, élevant le concept de vulgarité au rang d’art. C’est comme si Molière et Rabelais avaient eu un enfant, élevé par South Park.
La mise en scène de Shawn Levy est un véritable festin pour les yeux.
Chaque plan plat et mal éclairé est en réalité une métaphore profonde sur la condition humaine. Le choix de faire un monde post-apocalyptique qui ressemble à un décor de théâtre amateur du lycée ? Du génie pur !
Parlons un instant de la tension dramatique. L’absence totale d’enjeux est en fait une critique acerbe de notre société moderne où tout a trop d’importance. Levy nous invite à méditer sur le vide existentiel avec une maestria rarement égalée.
Et que dire des caméos ?
Chaque apparition est comme une pépite d’or dans un océan de… disons, de matière organique. C’est tellement bien fait qu’on en oublie presque le reste du film. Presque.
Ryan Reynolds et Hugh Jackman forment un duo comique d’une subtilité rare.
Chaque « ta gueule » échangé est comme une valse verbale, un ballet de mots choisis avec soin. Jackman, en particulier, nous offre une performance si nuancée qu’on en oublie tous ses rôles précédents. C’est comme s’il jouait Wolverine pour la première fois !
« Deadpool & Wolverine » est sans conteste le pinacle du cinéma moderne.
Un chef-d’œuvre si profond, si complexe, qu’il faudra sûrement plusieurs visionnages pour en saisir toutes les subtilités. Ou pas…
N’oubliez pas vos bottes en caoutchouc pour la séance, vous en aurez besoin pour patauger dans tant de… qualité.
@JEANO
