#Strasbourg #casting garçon de 5 à 8 ans pour le tournage d’un téléfilm avec Michaël Youn

Pour le tournage du téléfilm « Maman, ne me laisse pas m’endormir », réalisé par Sylvie Testud, (avec Gwendoline Hamon, Gérard Darmon et Michaël Youn)*, directrice de casting recherche le profil suivant :

– un garçon de 5 à 8 ans, type caucasien, pas très grand (rôle d’un enfant de 5 ans)

Note : les candidats doivent résider dans la région Grand Est

Tournage : prévu entre le 25 novembre et le 23 décembre 2021 à proximité de Strasbourg.

Aucune expérience particulière n’est indispensable. Il faut juste que l’enfant soit naturel et pas trop timide… Une expérience théâtrale peut être un plus.
Les scènes à jouer sont des scènes de la vie de tous les jours : un déjeuner où l’enfant veut couper le gâteau, une scène de retrouvailles à la gare, une scène où l’enfant danse sur un morceau de rap, encouragé par ses frères. Il y a un peu de texte mais ce sont de petites phrases simples.

Rémunération : tarif syndical TV

Merci de postuler avec les éléments suivants :

– photos couleurs récentes (portrait et en pied)

– nom, prénom, âge, taille, ville de résidence

– coordonnées (email et téléphone)

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* Ce que l’on sait sur ce casting :

Ce téléfilm aura comme acteurs principaux Gwendoline Hamon, Gérard Darmon et Michaël Youn.

Il s’agit de l’adaptation de l’ouvrage éponyme de Juliette Boudre publié aux Editions de l’Observatoire.

Quatrième de couverture : “Je vis chaque minute de cette nuit-là à sa place. Il était seul, toutes ces heures. Sans un appel. Sans un cri. Cela m’arrache le cœur. J’aurais pu le serrer, le rassurer, l’apaiser, le faire respirer, le calmer, le soulager. J’aurais pu lui ôter sa peur, la rendre acceptable, tolérable. Je n’étais pas là.” Avec des mots d’une rare force et d’une grande dignité, Juliette Boudre fait le récit de la longue descente aux enfers de son fils Joseph, décédé à 18 ans d’une overdose d’anxiolytiques et d’opiacés. Des mois d’impuissance face à l’addiction ravageuse de son enfant à ces drogues qui foisonnent dans nos armoires à pharmacie, et à son mal-être, symbole d’une génération qui se cherche, et se perd dans les paradis artificiels. Mais aussi des mois d’incompréhension et bientôt de colère face à des médecins et institutions semblant incapables d’en mesurer la dangerosité, et de prendre efficacement en charge les personnes addictes. Un récit tragique et bouleversant, et un véritable cri d’alarme sur les dysfonctionnements des services de santé publique face à ces drogues de plus en plus répandues. Jusqu’à quand laisserons-nous mourir nos adolescents ?

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