Pour le tournage du téléfilm France 3 « Les sandales blanches » réalisé par Christian Faure, directeur de casting recherche les profils suivants :
Rôles secondaires/petits rôles :
– une femme 40/45 ans sachant parler algérien pour incarner Leila, une femme ordinaire.
Tournage : prévu entre le 10 et le 18 avril 2020 en région parisienne. 2/3 jours de tournage
– un homme 45/55 ans sachant parler l’arabe algérien pour incarner Abdel, homme disgracieux.
Tournage : prévu entre le 20 et le 24 avril 2020 en région parisienne. 1 jour de tournage
– une femme 55/70 ans sachant parler arabe pour incarner une femme de ménage,
Tournage : prévu entre le 4 et le 6 mai 2020 en région parisienne. 1 jour de tournage
– un homme 45/65 ans sachant parler l’arable algérien pour incarner un vendeur de chaussures
Tournage : prévu entre le 16 et le 20 avril 2020 en région parisienne. 1 jour de tournage
Rémunération : 350-400 € brut/jour
Merci de postuler avec les éléments suivants :
Photos (portrait et en pied)
– nom, prénom, âge, taille, ville de résidence
– CV + Lien (YouTube, Vimeo, WeTransfer,..) bande-démo si vous avez
– coordonnées (email et téléphone)
—————————————————
* Les infos de figurants.com sur ce casting :
Il s’agit d’une adaptation de l’ouvrage autobiographique éponyme de Malika Bellaribi paru aux éditions Calmann-Lévy.
Synopsis : Faire une carrière de mezzo-soprano qui vous porte à la présidence du jury de présélection de l’Eurovision, voilà qui n’est déjà pas à la portée de tout le monde. Mais connaître un tel succès quand on est né dans un bidonville à Nanterre, voilà qui est proprement stupéfiant, tant on imagine nombreux et dissuasifs les obstacles à surmonter.
C’est peu dire, en effet, que rien ne prédestinait Malika Bellaribi à suivre ce parcours exceptionnel. Née dans ce “quart-monde” à la périphérie de Paris dénoncé par l’abbé Pierre, grandie tant bien que mal dans une famille nombreuse aux parents indifférents, Malika est victime d’un très grave accident qui la force à passer des années à l’hôpital et en rééducation dès sa plus tendre enfance.
Mais à quelque chose ce malheur est bon. Loin de son univers familial, soignée par des religieuses bienveillantes, Malika se trouve, et découvre la musique : celle des chants religieux qui emplissent, chaque dimanche, la chapelle de l’hôpital. La musique : c’est, la petite fille le sent, la voie du salut et du bonheur.
—————————————————